Page 412, réécriture du § concernant Charles-Félix d’Amphernet de Pontbellanger
Charles-Félix d'Amphernet, vicomte de Pontbellanger
Officier de l'ordre royal de la Légion d'honneur
(1788-1827)
le vicomte de Pontbellanger en uniforme d'officier du 6e Hussards
-collection particulière-
Vicomte
de Pontbellanger, il devint chef de nom et armes en 1821, après le décès de son oncle François-Michel, dont il fut seul et unique héritier. Il ne semble cependant pas avoir porté le titre de comte, si l'on en juge par les documents postérieurs à cette date.
De même il ne porta jamais les titres
de marquis de la Roche et de Coatarmoal,
baron de Laz, comte de Gournois , vicomte de Curru et autres lieux, dont il
hérita de son grand-père mort en 1788, mais
que sa mère portait selon un acte du 31 août 1819.
Né
à Quimper le 9 avril 1788, il fut baptisé le lendemain en l’église cathédrale
Saint-Corentin, ayant pour parrain le marquis du Grégo, son grand-père, et pour
marraine Louise de Collardin, dame de Bretonville, veuve de Ferdinand-Charles
Ollivier, grand maître honoraire des eaux et forêts de France au département de
Caen, sa tante paternelle.
acte de naissance de Charles-Félix
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Charles-Félix
a 3 ans quand son père part en émigration, et il est probable qu’il ne l’a jamais
revu pendant les 5 années qui précédèrent sa mort survenue en 1796. Son tuteur est son grand-père paternel Antoine-Michel d'Amphernet.
Après la mort de celui-ci, le 23 germinal an V (12 avril 1797), un conseil de famille réuni devant le juge de paix, le 18 vendémiaire an VI (9 octobre 1797), au château de
Pontbellanger, désigne pour tuteur son oncle maternel,
Jean-François Le Forestier, de Thorigny.
Après avoir
été élevé par sa grand-mère au
château de Vaudequip, Charles-Félix, entra à l'école militaire de Fontainebleau le 22
mars 1805 avec la recommandation du général Bonté, second époux de sa mère.
Sous-lieutenant au 92
è régiment d'infanterie de ligne le 11 mars
1806, il passe avec le même grade au 6
è hussard le 9 décembre
suivant.
Cavalier du 6e Hussards d'après le règlement de 1803
Il est aux batailles d’Iéna (14 octobre 1806) et d’Eylau (8 février
1807), fait la campagne d'Italie de 1809 comme
sous-lieutenant, et est blessé de deux coups de sabre à la tête le 15
avril à l’affaire de Pordenone. Il est sur l’Elbe,
faisant fonction d’officier d’état-major de l’armée du prince Eugène de Beauharnais, vice-roi
d’Italie, commandant l'armée française d'Italie.
Aide de camp du général de Jomini
Il fait ensuite la campagne d’Espagne de 1811
comme aide-de-camp du général Jomini (nommé le 12 avril 1811). Promu lieutenant en février 1812, il fait la
campagne de Russie, attaché au même chef : il a été blessé d’un coup de lance à Smolensk (17 août) et a sauvé le
général Jomini au passage de la Bérézina (28 novembre) qui a demandé pour cette
action le grade de capitaine.
C'est lui que Jomini avait chargé de reconnaître les routes de traverse qui, d'Orscha, conduisent directement à Wilna, ainsi que les divers passages de la Bérésina et du Dniéper. Le général communiqua ces renseignements à l'Empereur, en lui proposanr de
diriger les corps qui seraient appelés à ouvrir et à protéger les passage. Napoléon approuva sa pensée ...
Retraite de l'Armée française en passant la Bérezina le 26 novembre 1812
En 1813 Charles-Félix est aux batailles de Lützen (2 mai), Bautzen (20-21 mai), toujours comme aide de camp du
général Jomini. Lorsque ce dernier sera condamné à mort (décret du 15 septembre 1813) Charles-Félix sera placé sous surveillance policière ainsi que les autres aides de camp.
Aide de camp du maréchal de Grouchy
Il est à la bataille de Leipzig (16-19 octobre) comme capitaine au
6è hussards, promu à ce grade le 12 juin 1813 à Vesoul. Le général comte Grouchy l'ayant remarqué le choisit comme son aide-de-camp.
Lettre du duc de Feltre, ministre de la guerre, au général de division Grouchy, datée du 5 janvier 1814
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Général,
J'ai l'honneur de vous adresser une commission pour M. de Pontbellanger, capitaine au 6è Régiment de Hussards, dont votre excellence a fait choix pour aide de camp. Je donne ordre à cet officier de se rendre sans délai auprès de votre excellence.
Recevez, général, l'assurance de ma considération distinguée.
Lors de la campagne de France (janvier à avril 1814), pendant laquelle Napoléon tente d'arrêter l'invasion du pays, Charles-Félix se distingue en plusieurs occasions.
Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur sur le champ de
bataille de Saint-Dizier où Napoléon battit les alliés le 27 janvier 1814 pour
avoir traversé avec un escadron de dragons, malgré un feu d’infanterie très
nourri le faubourg Saint-Dizier, et avoir par cette manœœuvre, rendu toute cette
infanterie prisonnière .
Nomination de chevalier de la Légion d'honneur
Au combat de Vauchamps, où les Français obtinrent un avantage sur les Prussiens commandés par Blücher le 14 février 1814, il
entra
vaillamment le premier dans un carré de 3.000 Russes dont 2.000 demeurèrent
prisonniers. A cette bataille il est blessé d'un éclat d'obus à la jambe.
Grouchy conclut ainsi son rapport à l'Empereur : «
En attendant que je puisse faire connaître à Votre Majesté les braves qui se sont particulièrement
distingués, j'ose recommander à ses particulières bontés mon aide de camps chef d'escadron Rogé, auquel je supplie Votre Majesté d'accorder le grade de colonel et mes aides de camp
capitaines Pont-Bellanger, Fontaine et Vial pour lesquels j'ai l'honneur de vous demander, Sire, le grade de chef d'escadron; ces officiers ont dirigé presque toutes les charges
avec autant d'intelligence que de vigueur ».
(voir
ici).
Le lendemain Charles-Félix est promu chef d’escadron
d’état-major sur le champ de
bataille.
Dans une dépêche datée de Flogny, le 16 février, un colonel de l'un des régiments de cavalerie sous les ordres de Grouchy écrit :
«
M. Pont-Bellanger, votre aide de camp, est avec moi à Flogny. Il est allé au-dessus de Vieux-Maisons, où il a vu dans les environs quelques Cosaques. Il attendra avec moi le rapport du parti que j'envoie à Montmirail pour continuer sa marche ».
Charles-Félix se distingue à la bataille de Craonne (7 mars 1814).
Sous la première Restauration Charles-Félix est promu officier de la Légion d'honneur (21 novembre 1814).
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Durant les Cent Jours (mars à juillet 1815), il sert à nouveau sous Grouchy, élevé à la dignité de Maréchal (17 avril) et Pair de France. Il était à Gilly le 15 juin et Grouchy
l'envoya à l'Empereur pour lui demander l'ordre d'attaquer les Prussiens et le prier de lui envoyer des troupes d'infanterie afin de le mettre à même d'effectuer cette attaque.
Fort de cet ordre, il envoie Charles-Félix porter au général Vandamme l'ordre de se porter immédiatement sur Fleurus. « Le général Vandamme ayant formellement refusé d'obéir
à cet ordre, l'aide de camp du maréchal, auquel il vait enjoint l'ordre d'aller en rendre compte à l'Empereur, s'il refusait de marcher, se rendit en toute hâte à Charleroi ; mais quand il en revint, il était nuit close, et trop tard pour que l'attaque projetée pût avoir lieu » .
Charles-Félix est également à Waterloo (18 juin) et Grouchy écrira plus tard :
«
Quoiqu’il en soit, voulant être parfaitement renseigné sur les forces que Blücher avait sur la rive gauche de la Dyle, j’avais envoyé à la pointe du jour, le 18,
mon aide de camp Pont-Bellanger, avec une partie de mon escorte, (à défaut de cavalerie disponible ou fraîche) au pont de Moutiers, et je lui avais enjoint de passer la Dyle,
d’en explorer les rives, de s’assurer si quelques troupes prussiennes y avaient passé, ou s’y trouvaient encore, et de venir aussitôt que possible, me faire rapport de ce qu’il
aurait appris à Sart-à-Walhain où je me rendrais. Cet officier me rejoignit près de Sart-à-Walain ; il me dit que les ennemis s'étaient dirigés vers Wavres, et qu'aucune de leurs troupes n'occupaient Moutier, ni les bords de la Dyle dans les environs. Ce serait injure à la mémoire de mon aide de camp Pont-Bellanger, officier distingué, et qui partageait toute ma confiance, de ne
pas mentionner qu’il s’est religieusement acquitté de la mission qui lui avait été donnée. Il affirma qu’il n’avait été vu ni Prussiens ni Français dans toute la contrée qu’il
avait été chargé d’explorer ». Après la défaite, il renonce
volontairement au service le 1er juillet 1815 après 13 ans et 3 mois
et 8 jours des services.
Deux généraux qui ont joué un grand rôle dans la carrière de Charles-Félix
à gauche le baron de Jomini, général de brigade, historien et banquier
à droite le marquis de Grouchy, maréchal de France, (peint en 1831)
Le royaume est restauré le 8 juillet 1815 avec le
retour de Louis XVIII. Rentré à Redon pour y attendre de nouveaux ordres, il
fait une demande le 15 août 1815 pour être employé comme chef d’escadron dans
la Garde Royale suivie d’autres pour reprendre du service.
Lettre non datée
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Désirant être employé afin de pouvoir prouver mon dévouement à Sa Majesté, et réparer s'il était possible la faute que j'ai commise en n'écoutant que ma reconnaissance que je devais à mon général Monsieur le comte de Grouchy, et en servant contre mon légitime souverain.
Si mon repentir sincère et l'ardent désir de faire oublier ma faute peuvent m'être utile auprès de votre excellence, je la supplierai de vouloir bien m'être favorable. Servant depuis douze ans dans la cavalerie, je désirerai rentrer dans cette arme.
Je suis avec le plus profond respect etc.
Le 12 octobre le maréchal Victor est nommé président de la commission chargée d'examiner
les services des officiers ayant servi Napoléon durant les Cent-Jours. Charles-Félix lui adresse une demande le 1er novembre.
Lettre datée de Redon le 1er novembre 1815 au Maréchal Victor, duc de Bellune
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Monseigneur,
J'ai l'honneur de vous adresser ci-joint l'état de mes services. J'ai celui de vous faire observer que quoique j'ai fait la dernière campagne comme aide-de-camp du général Grouchy, je ne l'ai suivi que comme militaire, et n'ai pas su résister à son influence me trouvant à Paris à l'arrivée de l'Usurpateur. Je ne me suis d'ailleurs mêlé d'aucune opinion politique. Je l'ai quitté dès le 24 juin et me trouvant ainsi parfaitement libre, je suis retiré dans mes foyers pour y attendre les ordres du Roi.
Je vous supplie, Monseigneur, de prendre en considération les services de mon père tué à la Vendée ; ils sont garants de ceux que je demande de rendre au Roi en vous priant de me mettre dans le cas de le service le plus tôt possible.
Je suis avec un profond respect etc.
Mais les places étaient chères et réservées aux officiers restés fidèles au Roi durant les Cent Jours ! Ses états de
service sous Grouchy le desservirent et ses demandes furent classées sans
suite, malgré l’appui de son oncle, le comte de Pontbellanger, écrivant au Maréchal Victor, le 17 janvier 1816 :
«
J'ai eu l'honneur, dans les premiers jours de décembre dernier de transmettre à la Commission une demande formée par mon neveu le Vicomte de Pontbellanger, à laquelle étaient un état de ses services et un autre des campagnes et blessures. Ces pièces étant maintenant entre les mains de la Commission, je vous supplie, Monseigneur, de vouloir bien en ordonner le visa.
Je vous prie, MM. les membres de la Commission, d'avoir la bonté d'observer que son père et moi, ainsi que tous les membres de sa famille, avons toujours servi le Roi avec zèle et fidélité.
Nous espérons tous que vous daignerez accorder du service au Vicomte de Pontbellanger dont le père est mort glorieusement dans la Vendée en combattant pour son Roi ».
Il obtient néanmoins d’être payé de la
solde d’activité de votre grade, sans accessoires, à partir du jour où vous
avez quitté M. le général comte de Grouchy. Il bénéficia de cinq années de
traitement à partir de cette date et cessa d’être payé le 1er juillet 1823. Ainsi se
terminait sa carrière militaire.
Devenu sédentaire, Charles-Félix peut songer à se marier. A 31 ans, le 31 août 1819, il épouse, à la
Chapelle-Bouëxic , Monique
Zulmé Quesnel de la Morinière, fille de Jean-Jacques, riche propriétaire de Coutances
(50), connétable du Roi, et de Marie-Charlotte Christy, dame de la Morinière, cousine issue de germain du général Bonté. Si ce dernier est présent, sa
mère, Louise du Bot du Grégo, n’a pas signé et n’est pas citée parmi les témoins.
Peut-être trop prise dans ses tractations, n’a-t-elle pas daigné assister au
mariage de son fils ! A cette occasion sa grand-mère Jeanne-Vincente Thomas de la Caunelaye, marquise du Grégo, lui donna l’usufruit du domaine de Vaudequip, moyennant
une pension pour elle et sa femme de chambre,
gratuite convenable à son état et à sa condition. Au décès de cette
grand-mère, le 22 mai 1822, le Vaudequip lui appartient. Le
couple aura deux enfants : Michel-Adrien, comte de Pontbellanger, né en 1820 et Antoinette, épouse du comte du Fresne de Virel, née en 1822.
Extrait du registre des mariages de la Chapelle-Bouexic (35)
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Charles-Félix a épousé Monique Zulmé Quesnel de la Morinière à la Chapelle-Bouëxic
La maison seigneuriale de la Chapelle
du Bouëxic, située en la paroisse de Guignen, diocèse de Saint-Malo,
consistait selon l’aveu rendu au Roi en 1680, en un grand corps-de-logis au bout duquel sont orangeries et galeries
avec cour dans laquelle sont les écuries, remises de carosses et mesnageries,
jardin au derrière de la maison, bois de haute futaye, promenoir, étang,
canaux et fontaine au milieu du jardin, le tout en un tenant cerné de
murailles. Ce château, qui avait été édifié par Yves le Bouëxic, est
passé aux mains des Quesnel de la Morinière après 1754. Ils ne le conservèrent
pas longtemps puisqu’il passa aux Menou qui le possédaient en 1874 et
l’habitent encore. Le château fut pillé le 19 janvier 1790 par une bande de
600 personnes environ. On brisa des meubles, des portes, des fenêtres, on
commit des dégâts de toutes sortes, on prit divers objets et de l’argent,
mais le fait capital paraît avoir été l’incendie des papiers seigneuriaux,
qui furent ramassés dans le cabinet du procureur fiscal et brûlés entièrement
dans la cour.
Son oncle, le comte de Pontbellanger, décède sans postérité le 5 mars 1821 à Paris, le constituant son héritier. Charles-Félix devient ainsi propriétaire du château
de
Pontbellanger, dont sa tante conserva l'usufruit, qu'elle mit à profit pour
vendre tous les meubles et tableaux qui s'y trouvaient !
N'ayant plus d'emploi dans l'armée, il reçut une commission
de lieutenant de louveterie dans le département du Morbihan par le grand
veneur, le 28 février 1822, puis de capitaine (commission honorifique renouvelée tous
les ans, pour la chasse aux loups ; ils sont tenus d’entretenir à leurs
frais un équipage de chasse composé d’au moins un Piquer, deux Valets de
limiers, un Valet de chiens, dix chiens courants et quatre limiers).
Sa grand-mère maternelle Thomas de la Caunelaye décède le 22 mai 1822, lui léguant son château de
Vaudequip, en Allaire.
Le préfet du Morbihan le nomma
le 28 novembre 1825 grand voyer des communes d’Allaire, Rieux et Saint-Gorgon.
Ceci faisait suite à la loi du 28 juillet 1824 et à l’arrêté du 4 juin 1825
considérant qu’il fallait nommer des grands voyers par canton
pour diriger les efforts des habitants dans
l’exécution des prestations en nature pour l’entretien et la restauration des
chemins communaux.
Commission de lieutenant de Louveterie
Sa mère décède le 17 janvier 1826 en son château de Trévarez. Il déclare le 28 janvier accepter sous bénéfice d'inventaire la succession de sa mère.
Il hérite des châteaux de
Trévarez et du
Grégo, mais ceux-ci étant en partie propriété du général Bonté
(second époux de sa mère), qui sauva ces biens de la saisie en les achetant (fictivement),
il n'en profitera guère. Bonté meurt à Trevarez en 1836, soit 9 ans après le décès de Charles-Félix, et c'est avec sa seconde épouse, Thérèse de Carlotti, qui vivait au château du Grego, que se régla la succession.
Charles-Félix est
mort dans sa propriété de
La Barre, près de Redon, le 8 août
1827, âgé de 39 ans. Dans son testament du 19 juillet 1826, signé en sa maison de La Barre, le
vicomte de Pontbellanger donnait à son épouse l’usufruit de tous ses biens,
meubles et immeubles,
à la charge de
nourrir, élever, entretenir et éduquer leurs enfants [respectivement 7 ans et 5
ans à la mort de leur père] selon leur rang et fortune et de les doter en cas
de mariage, et léguait à son fils Michel Adrien,
la terre de Trévarez et toutes ses dépendances
de façon que mon fils se trouve posséder cette terre avec ses titres
et, hors part, la terre de
Pontbellanger, pour en jouir après la cessation de l’usufruit de sa tante (morte en 1858).
Les propriétés laissées par Charles-Félix étaient Pontbellanger, Le Grégo, Trévarez
(terre et forêt), Le Vaudequip, Paris et La Barre.
Michel-Adrien
hérita donc de Pontbellanger et de Trévarez et sa sœur Antoinette, du Grégo et de Vaudequip.
On notera que Charles-Félix faisait don de ses chiens au comte de Grouchy
(il était alors comte d'Empire et ne fut marquis que sous la Monarchie de juillet, donc après 1830)
en reconnaissance et comme gage de la fidélité du sentiment qu'il lui porte.
En 1830 différents immeubles provenant de sa succession sont vendus par sa veuve pour la liquidation des créances.
acte de décès de Charles-Félix
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La pierre tombale de Charles-Félix a été retirée du cimetière de Redon en 1995
-photo Jean Le Beux-
Signature de Charles-Félix
apposée sur le registre des naissances de Redon (35) en 1822
Sources principales :
Archives familiales
Base Leonore (Légion d'honneur)
Nobiliaire de Saint-Allais
Ordres donnés par le maréchal Grouchy
Le général Jomini, sa vie et ses écrits, par Ferdinand Lecomte.